Hyper Awesome Entertainment modernise des poncifs du jeu d'arcade
Comment peut-on pour créer le jeu de baston à défilement horizontal le plus fun de tous les temps ? Cette question qui taraudait mon frère et moi il y a plus de quatre ans a marqué le point de départ du développement de Dungeon Punks. Nous sommes fiers d’annoncer que nous allons présenter notre réponse lors du salon PAX East, puis lancer le fruit de nos efforts sur PS4 !
Il y a des décennies, les jeux de baston dominaient les salles d’arcade, mais nous nous rappelons cette période comme si c’était hier. Nous étions prêts à avaler les kilomètres pour jouer sur les bornes les plus récentes. On s’éclatait vraiment en sillonnant New York, faisant escale chez les vendeurs de pizza pour claquer quelques pièces dans TMNT (Teenage Mutant Hero Turtles en Europe) et Tower of Doom. Il n’existait rien d’aussi grisant que d’explorer ensemble un nouveau monde tout en affrontant des hordes d’ennemis pour remporter la victoire. Évidemment, s’enfiler une délicieuse part de pizza rendait l’expérience encore plus agréable.
Dungeon Punks combine certains de nos concepts préférés dans le secteur des beat’em all, des RPG et des jeux de baston pour créer un soft bourré de bonnes choses. Nous tenions à créer un jeu proposant un versant tactique intéressant comme dans tout jeu de combat digne de ce nom, mêlé au plaisir de dégommer des tonnes d’ennemis à l’aide de sortilèges dévastateurs. Par ailleurs, il n’était pas question de faire appel à des réflexes monstrueux ou des manipulations secrètes du joystick pour exécuter des combos époustouflants.
Nous avons donc adopté une approche originale en empruntant divers mécanismes à des jeux de combats par équipe comme X-Men vs. Street Fighter. Ensuite, nous avons doté chaque personnage d’une panoplie de sortilèges tactiques sympas ainsi que d’une technique d’esquive particulière, afin de créer une jouabilité à la fois profonde, stimulante et vraiment fun.
Les combats par équipe de Dungeon Punks font la particularité du soft. Vos héros agissent en groupe, ce qui vous permet de préparer un combo en transformant votre Tempest Knight en tempête tournoyante offensive, puis de plonger au cœur de l’action en tant que Were-Witch afin d’achever les ennemis prisonniers de cette tornade. En outre, vous pouvez à tout moment prendre le contrôle de n’importe lequel des six héros de votre groupe ou, encore mieux, demander à un ami ou deux de rejoindre votre aventure !
Ai-je précisé que le titre propose des personnages bien déjantés ? Nous voulions créer des héros donnant envie de jouer. Nous avons réuni les éléments préférés de divers bestiaires pour en faire des héros ! Cela nous a permis d’obtenir six personnages débridés, débordant de personnalité et proposant des sensations uniques. D’une déesse égyptienne (The Hierophant) au lointain descendant des dragons appelé The Drakken Warrior, chacun propose un style et des caractéristiques vraiment uniques.
L’intrigue du jeu est tout aussi originale que ses héros. Le titre fait référence au genre du “dungeon punk” : imaginez toutes les possibilités du monde moderne mais remplacez la technologie par la magie. Dans notre jeu, cela se traduit par des navires volants, des interventions du FBI, de l’espionnage industriel ainsi qu’une ribambelle de mutants possédant un permis de tuer, chargés d’éliminer les grands pontes des assurance de résurrection, le tout dans un cadre médiéval. Ajoutez un RPG complet réunissant des tas de catégories (comme les Froganoids) ainsi que des missions, armes et équipements et vous obtenez Dungeon Punks.
Nous présenterons le jeu au public pour la première fois lors de PAX East et nous avons hâte que les joueurs le découvrent ! J’espère que vous partagez mon enthousiasme concernant le soft et ses particularités. Nous travaillons sur ces idées depuis longtemps et nous sommes vraiment heureux de voir le résultat.
Mon ambition est de vous permettre d’explorer des environnements à plusieurs en ressentant la même joie que nous enfants quand nous étions réunis autour d’une borne d’arcade pour jouer à un jeu de baston. Ou au moins de vous éclater en tapant sur tout ce qui bouge, ce qui est déjà très bien. Ou de manger une pizza. Avec la pizza, on n’est jamais déçu.
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