Le dernier opus du jeu de tir sanglant de Bethesda ne manque pas de style
Si vous avez eu le courage de vous mesurer à DOOM , sorti la semaine dernière, vous savez déjà qu’il réserve de belles surprises à ceux qui le considèrent comme un jeu de tir où il faut casser du démon et faire couler du sang. Alors voici quelques raisons pour lesquelles nous avons trouvé la refonte 2016 de ce classique incontournable totalement jubilatoire. Et vous, quelles sont les vôtres ? N’hésitez pas à nous en faire part dans les commentaires ci-dessous…
Un sentiment exaltant
DOOM est truffé de zones secrètes et de trésors à dénicher. La notion de “secret” pour certains jeux se résume à dissimuler quelque chose derrière un poteau et à l’envelopper d’une aura lumineuse bien tape-à-l’œil, mais pas chez DOOM : les cachettes seront plutôt à l’ancienne, placées dans des endroits inaccessibles où vous devrez redoubler d’efforts pour y accéder.
Chaque niveau abrite deux types de modèles de diablotin, des figurines-soldats DOOM revêtant diverses apparences, dont un hommage à Vault-Tech de Fallout qui a, à n’en pas douter, une certaine ressemblance avec notre héros.
À toute allure
Tout comme le DOOM original, le rythme de cette version remaniée est effréné. Ça décoiffe. Jouer à cache-cache en se mettant à couvert dès que possible dans une course-poursuite contre deux Chevaliers de l’Enfer a été une expérience de jeu très intense. Heureusement, au contraire de l’original, le soldat DOOM peut maintenant faire des sauts et des escalades de style parkour pour s’échapper.
Un classique impérissable
L’édition 2015 de DOOM rend hommage au classique de 1993 de plusieurs façons : comme, par exemple, recréer directement les niveaux originaux pour les joueurs à l’œil de lynx qui parviendront à repérer les passages qui les ramèneront dans le temps.
Une fois que vous aurez trouvé ces entrées dans chaque niveau, vous débloquerez alors la version complète de ces niveaux classiques et vous pourrez y jouer à partir du menu principal, et même avec la bande originale pour un brin de nostalgie.
Des armes, des tonnes, toujours plus
Vous pouvez franchir les niveaux cauchemardesques de DOOM avec des armes que vous pouvez améliorer, sans toutefois vous forcer à conserver l’amélioration de manière permanente sur l’arme. En appuyant sur la touche haut de la manette, vous pouvez passer en revue toutes les améliorations possibles et, par exemple, votre fusil à pompe pourra à la fois tirer en rafale et faire des dégâts explosifs.
Mettez-vous à l’épreuve
Au fil de la partie, vous tomberez parfois sur des inscriptions qui vous donneront accès aux épreuves runiques, défis intenses à durée limitée qui font monter la pression encore plus haut. Accomplissez les objectifs (comme, par exemple, liquider un certain nombre de démons avec une arme spécifique dans le délai imparti) pour recevoir de belles récompenses. Vous pourrez même rejouer à l’épreuve pour battre votre propre record à partir du menu principal.
Prouvez-leur qui est le maître
Les provocations multijoueur de DOOM font partie des meilleures que j’aie jamais vues. Il n’y a pas d’autres jeux où vous pourrez danser comme Carlton Banks dans la série Le Prince de Bel-Air au-dessus du cadavre ensanglanté de votre rival !
Un enfer rien que pour vous
Si vous parvenez à sortir vivant de la campagne et que vous en voulez encore, le mode Snapmap de DOOM vous emportera dans un tout nouveau monde monstrueux. Ces niveaux générés par le joueur offrent une palette quasi-infinie de nouveaux défis, avec des mélanges d’armes, de démons et d’environnements dont la seule limite se résume à l’imagination démente de la communauté. Vous êtes évidemment libre de créer et de partager votre propre vision de l’enfer.
Hasta la vista baby
La Fonderie abonde de cuves de métal en fusion : si vous avez la malchance de trébucher dans l’une d’entre elles, vous risquez de connaître une fin bien connue.
Un petit coup de main ?
Quoi de plus truculent que d’arracher le bras d’un démon pour ensuite le frapper sur la tête avec ? Impossible de se lasser de ces petits moments d’anthologie.
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